samedi 22 décembre 2012

Germaine CHAUMEL

Un regard, une rapidité, une précision, une émotion, un instant gravé à jamais dans le temps, une poésie, un son, une image, un regard...

Venez découvrir Germaine CHAUMEL: "Photographe d'hier, femme d'aujourd'hui."

Germaine CHAUMEL- Germaine Chaumel
Toulousaine, Germaine Chaumel (1895-1982) est issue d'une famille d'artistes. Elle va se lancer sur les voies de la photographie en se formant elle-même, les photographes Man Rey et Brassai sont sources d'inspirations pour elle.

En 1937 elle fait de sa passion son métier, en 1938 elle travaille pour le journal LA GARONNE.  Elle photographie des scènes de tous les jours dans les quartiers de Toulouse. Elle fait partie d'un club appelé "le club des douze" qui regroupe onze hommes photographes et elle, jeune femme photographe.

 En 1940 elle photographie des sportifs, puis elle immortalise Toulouse sous l'occupation allemande et aussi Toulouse lors de la libération. Il n'y a qu'elle qui a pu photographier cela. Car il était interdit de le faire, mais elle a su cacher son appareil photo.

Une femme ayant un temps d'avance sur ses photographies, ses cadrages sont originaux , ses photographies captivent.

Voici 3 photographies de Germaine CHAUMEL, que je trouve très belle de part leur originalité et traitement. Il y en a tellement d'autres que j'aime! Je vous laisse le soin de les découvrir par vous même, ainsi vous la connaîtrez un peu mieux. Aller sur les sites internet que je vous propose et également allez faire un tour au BAZACLE à Toulouse, où se tient l'exposition jusqu'au 24 février 2013.


Germaine CHAUMEL- Vue de nuit à Toulouse: le théâtre des variétés

Germaine CHAUMEL- Ecole





Germaine CHAUMEL- L'envol

Exposition au Bazacle à Toulouse:




http://bazacle.edf.com/

http://www.pixfan.com/germaine-chaumel-profession-photographe/

http://www.germaine-chaumel.fr/biographie.php

Voici une vidéo qui explique d'avantage la vie de Germaine CHAUMEL. " Rencontre avec François Bordes pour l'exposition Germaine Chaumel".



 

Appareil photo de Germaine CHAUMEL: un appareil Rolleiflex

 

samedi 8 décembre 2012

I need YOU

Salut à tous et à toutes!

j'aurai besoin de vous, pour sélectionner des poèmes, pour pouvoir réaliser un recueil. 
Donc, pour cela je vais procéder ainsi:

A partir d'une sélection que j'ai déjà établie, je vais vous propose régulièrement 6 poèmes (oui on va faire par 6 ça ira plus vite^^) et vous me marquez lequel ou lesquels vous préférez à chaque fois. Merci ! :)

1)
Juste une tache bleue
Juste un liquide bleu
Une plume,
Un cahier.

Je m'étale sur le long d'une surface lisse
Je prends les courbes du stylo
Alors viens le temps où je me vide
Où malheureusement le temps est venu pour moi,
De faire juste une dernière danse,
Laisser juste quelques traces...

Juste une goutte bleue,
Juste une croûte d'encre,
Un, deux, trois
J'ai tiré ma révérence.

2)
L'oeuvre inachevée
Tu m'attires dans une de tes toiles
Je te fais entièrement confiance

Je flirt avec ton subconscient
Lui et moi ne faisons qu'un.

Quelques éclaboussures argentées
Sur une crêpe bleue marine

Tes mouvements sont plus précis
Je m'élance sur une piste blanche.

Quelques coups de ci, de là
Formant une croûte des plus étrange.

Ton poignet se fait plus souple
Tu signes cette oeuvre inachevée.

Tu poses ton outil fétiche
Qui n'est que ton pinceau: Moi. 

3)
Une goutte, touche un lac
Tes cheveux ondulent au vent
Le visage pâle, la rosée de tes lèvres
Glisse lentement, sur la rose noire…
-----------------------------------------------
Tes yeux livides, il n’y a rien
De plus beau que ton chant
Simple, un murmure dans la nuit…

Tu tombes doucement, flottant
Dans cette toile lugubre
Jolie Plume de Corneille, tu finis
Ta course sur un sol marécageux.

4)
Elle sent l’écume des souvenirs
Un voile bleu lui cache le visage
Ses lèvres sont cristallisées
L’écharpe bleue se retire.

Le temps a viré au gris pâle
Le navire des pensées de l’été
L’emporte vers un nouveau monde.

Il se met à pleuvoir, elle se met à boire
Le temps râle, où est passé son saint graale ?
Une lame transperce les cieux, les larmes inondent ses yeux…

Le navire a chaviré, elle flotte dans le vide
Elle étouffe, se noie, dans cette mer acide
Avant de toucher le fond de sa vie,
Elle repense aux chrysanthèmes bien aimés…

Une lueur amène un peu de chaleur
Son cœur se remet à battre,
Elle retire le voile qui couvrait son visage…

5)
Le silence d'une feuille d'automne.

Emmitouflée dans ma mélancolie, je suis allée me promener
J'ai vu pour la première fois Paris, il ne fesait pas très beau
J'ai sentit les fils d'argents d'un soleil de minuit, au bord du canal un couple s'embrassait.
J'aimerais encore pouvoir contempler ce tableau.

Lentement, délicatement, sans un bruit, je m'effritais
Je valsais, doucement mais surement dans un dernier solo,
Un silence, une saveur froide, m'engourdissait,
Une brise légère me déposa sur un tapis remplis de maux.

La cloche de Notre-Dame rappella l'avertissement
Le vent d'une journée éphémère me souleva
Je crus revivre quelques secondes, voir une éternité
Mon idylle pris fin lorsqu'on me brusqua et me froissa. 

6)
Berceuse Lunaire
Silence abyssale
Lune Opale
Dis quand viendras-tu me bercer ?

Au clair de la lune, j'ai sombré
J'ai perdu ma plume, dans un de tes traits

Dis, quand maman viendra me chercher?

Hier soir elle m'a déposé dans un drap blanc,
Un baiser humide sur mon front glacé,
Elle a déposé quelques roses de printemps,
Une de ses larmes argentée s'est fondue dans ma pensée...

Au clair de la lune, dans mon linceul je repose
J'ai perdu ma plume , dans un silence morose.

Aseptisé

Aseptisé.

Odeurs alcoolisées, aseptisées
Sa tête fourmille de vertiges
Un son aigu régulier
Dans ses veines des tiges
De quoi s’alimenter
Murs blancs
Habits blancs
Plafond blanc
Elle se lève maladroitement
Se rattrape à une perche
Où pend un sac transparent
Face à elle un visage passant
La contemple et la cherche
De ses grands yeux mort-vivants
Quelques cheveux en lambeaux
Un pas vers l’avant
Elle se reconnait dans se miroir non-déformant
Elle panique, hurle et trébuche.
Des blouses blanches arrivent
La recouche et la branche.
Madame calmez-vous
Il est l’heure de la chimio, fermez les verrous.

Ainadolwen.

dimanche 2 septembre 2012

Toulouse, la ville rose

Ce sujet je l'alimenterai au fur et à mesure ;)
Toutes les photos m'appartiennent, vous ne pouvez pas les prendre, merci de votre compréhension.
All reserved.

Tout droit réservé

Tout droit réservé

Tout droit réservé 

Tout droit réservé





Tout droit réservé

Tout droit réservé

vendredi 24 août 2012

Joli Contenant

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

lundi 6 août 2012

Un p'tit hommage aux Rolling Stones

"Like A Rolling Stones"



Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

samedi 28 juillet 2012

Un temps de Bzz

Bzz


Tout Droit Réservé

Tout Droit Réservé

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Tout Droit Réservé

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jeudi 26 juillet 2012

Summer Paranoïa

 Si vous voulez vous pouvez le lire en écoutant du RadioHead, Paranoid Android

Summer Paranoïa

A l’ombre d’un peuplier
Il s’est mis à planer
Puis il s’est enflammé
En cage peu à peu consumée
Marginal incompris de la société
Tout s’est embrasé.

Masse de feu, feu-follet
Trace d’un passage illuminé
La soirée s’emmêle à la matinée
La matinée s’est fait ratatiner

Masse écrasante, suffocante enracinée
Dans la nappe des cieux obstinés
Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé !
Ça sent l’échappée, le cramé
La vapeur s’étale sur les quais
Écume, brume, tout est étriqué.

Masse humaine, zombis liquéfiés
Poussières grisâtres des champs, alizés
Tourbillonnements des voûtes orangées
Eau fraîche, goudron d’un mythe épuisé
Figures tordues, plâtres assoiffés dévastés
Hé ! Hé ! Hé !
Paranoïa d’un vertige d’été
A la chaleur d’un peuplier
Ses pensées se sont embrasées
Sur ses neurones consumées, cendrées.


Ainadolwen
Tout Droit Réservé

dimanche 8 juillet 2012

Les doigts d'Epialtês

Les doigts d'Epialtês.

Son coeur tambourine à l'unisson d'un chant de clair de lune
La prière du soir s'est envolée quand la flamme s'en est allée
Tout prend une ampleur nouvelle dans cette infortune.

Il assiste à un cortège aux tons angoissés
Rien n'a de sens tout se met à tournoyer
Les ombres aux allures gargantuesques
Prennent vies dans ce manège désenchanté

Tout se tord et se métamorphose créant une spirale
Où les peurs prônent des masques sans morale
Les doigts d'Epialtês se serrent sur sa gorge
Il étouffe et saigne sur ses peurs qui l'égorgent.

Une douce douleur de morphine le câline
S'insinue dans son corps odeur féline
Miaulement de craintes enfantines
Il n'y a là aucune médecine.

Une grande inspiration lui incendie les poumons
Son corps transpire l'acide d'un jus de citron
Il reprend peu à peu le dessus de sa Raison
Explosion d'eau fraîche pour évacuer le poison.

texte: Ainadolwen
Tout Droit Réservé

Jardin Secret

Jardin Secret.

Une lueur se pose sur ses grands yeux mignons
Des chansons, des sons de lyre l’enveloppent d’un doux cocon
Tout tournoie dans son manège enchanté
Rien ne peut l’atteindre dans son magnifique cortège
Une odeur lui chatouille son petit nez retroussé
Celle d’une madeleine encore tiède.
Elle se met debout, se met à rire
Se met à danser sur elle-même, telle une poupée de cire
Un tour, deux tours, c’est le jour.
La voilà grandi, continuant de rêvasser,
A se prélasser dans un monde de fées
A contempler un château dans les nuages
Tout en chevauchant un dragon ailé pour vivre d’innombrables épopées !
Un monde aux couleurs acidulées
Des labyrinthes aux parfums sucrés
Elle est princesse d’une forteresse enchantée.
Un jardin secret qui reste refuge
Où les sorcières prennent des allures de doux cauchemars
Où les contes deviennent de vrais remparts
Où les ombres chinoises se métamorphosent,
Pour devenir de véritables alliés véloces !
Une lueur se pose sur ses yeux affinés
L'odeur de la madeleine s'est évaporée
Mais en son sein réside un secret
Celui d'un jardin ensoleillé pour l'éternité.


texte: Ainadolwen
Tout Droit Réservé

Collab avec gelougajaed

photographie gelougajaed "lhomme sans tête"

L'utopie manquée
Dans les pensées d'un passé
Sa tête regorge d'émotions oubliées
Une destination pour une envie d'ailleurs
S'abandonner pour un peu de bonheur

Les regards glissent sur les passants
Caressant les saveurs d'un monde perdu
Ignorant les sentiments marquants
D'une chimère abandonnée qui crue
A une utopie manquée

Des oublis qui semblent envolés
Dans les échos des pas pressés
Des funambules tous enchevêtrés

Visages masqués aux reflets d'abîmes
Miroirs de vies abandonnées
Qui tentent de se bercer de rimes
Pour affronter la ballade endiablée.

(texte: Ainadolwen)

J'ai découvert gelougajaed sur le forum (www.baywin.net). J'ai été séduite par ses photographies qui me rappellent Robert Franck. 
Gelougajaed a un regard sur les scènes de tous les jours vraiment interessant, et son noir et blanc est juste sublime! 
Retrouvez-le ici: http://www.flickr.com/photos/louisgely/
https://www.facebook.com/pages/Gelougajaeds-Imaginarium-Photography/119765084787702

Epic: la bataille du royaume secret

Date de sortie 
Réalisé par 
Avec 
Genre 
Nationalité 

(source: allocine.fr) 

 Synopsis
L’histoire d’une guerre qui fait rage autour de nous, opposant les forces du Bien, qui protègent la nature, et celles du Mal, qui veulent sa destruction. Lorsqu’une adolescente se retrouve plongée par magie dans cet univers caché, elle doit s’allier à un groupe improbable de personnages singuliers et pleins d’humour afin de sauver leur monde… et le nôtre.  
(source: allocine) 

Bande-Annonce (Teaser) 
 

vendredi 18 mai 2012

Rose des Sables


Rose des Sables
Au loin se profile un visage
Dans les pépites de sables
Il flotte tel un mirage
Tout son être est irréalisable.

Et sa tête plonge dans les dunes
En quelques douces lacunes
Mais un espoir, un brasier fume,
Un message dans la brume.

Si son regard est ton regard
Si son sourire est ton sourire
Il est en moi un empire
Il est en moi un phare.

Un parfum aux couleurs étonnantes
M’enivre de souvenirs heureux.
La Rose des Sables a l’odeur rémanente
M’indique un chemin aux éclats savoureux.

Texte: Ainadolwen
Tout Droit Réservé

jeudi 17 mai 2012

Roses Vintage

Voici quelques clichés de roses, j'ai voulu travailler un peu les ambiances, que ce soit un peu "vintage".
A écouter avec
BIRDY-1901



Tout Droit Réservé



Tout Droit Réservé



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mercredi 2 mai 2012

Irlande

L'Irlande
voici un petit article sur l'Irlande. Je ne l'ai pas fait trop long, j'ai tenté de mettre quelques points incontournables de ce beau pays!

Irlande-Eire
Superficie :        île de 84 430km2
Localisation :   nord-ouest du continent européen
                                Ouverte sur l’océan Atlantique à l’ouest
                                Séparée de la Grande-Bretagne par la mer d’Irlande à l’est
Population :      République d’Irlande (Eire) 3,9 millions d’habitants
                               Irlande du Nord (Ulster)qui fait partie du Royaume-Uni 1,7 millions d’habitants
Capitale :          Dublin

Le symbole officiel du pays est la harpe celtique (qui figure sur les pièces d'euro), mais le trèfle à trois feuilles est souvent utilisé comme autre symbole, notamment par l'équipe irlandaise de rugby.
Le climat est océanique. Les étés sont généralement doux, la température ne dépassant que très rarement les 25°C. Les hivers sont frais et pluvieux. Les températures minimales ne descendent qu'exceptionnellement en dessous de 0°.
Le centre et l'Est de l'île connaissent des températures un peu plus fraîches en hiver que l'ouest du pays, qui bénéficie énormément de l'effet du
Gulf Stream.
A Dublin, les mois les plus frais sont janvier et février des moyennes de 3° pour les minimales et de 8° pour les maximales ; en été, les températures moyennes oscillent entre 12° pour les minimales et 19° pour les maximales.
Comme dit un proverbe, « en Irlande, il fait beau… fois par jour ! ». (source: wikipedia)
Après cette petite carte d’identité, je vais me centrer sur un voyage que j’ai eu  la chance de pouvoir faire. Donc je vous parlerai de quelques villes escales de mon périple celtique, qui m’ont marquées.
·         Dublin
Le nom de 'Dublin' est généralement considéré comme provenant du gaélique originel Dubh Linn (« l'étang noir ») qui signifie maintenant « baie de la fumée », le nom d'un bassin d'un affluent de la Liffey, près duquel s'est érigée la première place forte des Vikings, bien qu'il existe des doutes à ce propos. (source : wikipedia)
Lorsque je suis arrivée à la capitale, j’ai été agréablement étonnée de la frénésie, une ambiance chaleureuse circulait dans chaque ruelle. Des bâtisses colorées, des rouges, des jaunes, vertes…Les irlandais sont très accueillants !
Que ce soit le jour ou le soir, il y a des mélodies qui s’échappent de toute part, le soir pousser la porte d’un pub, allez-y vous restaurer, boire une petite Guiness ou un IrishCofee, tout ceci dans les sons des danses et chansons celtiques irlandaises.
Une ville jeune et dynamique où il fait bon vivre !
(Il existe une vie nocturne très dynamique à Dublin. La ville est une des plus jeune d’Europe avec près de 50% de la population âgée de moins de 25 ans. De plus Dublin a été élue en 2007 et 2009 ville la plus amicale d’Europe.
Source : wikipedia)
Le Trinity College, conserve en ses murs The Book Of Kells : je vous conseille vivement d’y jeter un œil voir plusieurs ! C’est magnifique, le livre est très bien conservé et les enluminures sont superbes, il y a de nombreux détails et c’est ma foie émouvant de pouvoir l’admirer !
Puis la Cathédrale Christ Church, qui présente une construction particulière car certaines constructions sont danoises  d’origine et datent du XXe siècle.
Allez vous perdre dans le Temple Bar, une magnifique rue très animée, de nombreux restaurants s’y trouvent et c’est une rue ancienne, alors peut-être que vous y trouverez quelques lutins le nez dans la bière.
Vers le comté de Dublin à Bray, je vous invite damoiselles et damoiseaux à venir visiter Powerscourt Estate, un château somptueux, dont le jardin est divin !
·         Kilkenny
Kilkeny est une ville qui a un charme, de part ses ruelles et maisons médiévales, c’est ici également que la bière Kilkenny a été crée.
Aventurez-vous vers l’église St Mary (St Mary’s Church), une église collégiale qui a été construite à la fin du XIIIe siècle. Une église qui a traversée les années et les siècles. A l’intérieur résonne les échos d’un ancien temps, d’une autre époque. On a l’impression qu’elle pourrait s’écrouler mais non la force réside en ses pierres grises qui contrastent avec le vert de la végétation. A voir, c’est saisissant !

·         Killarney
Killarney, Parc National, l’Irlande à nue, l’Irlande des légendes, des plaines verdoyantes, des collines, des forêts et des lacs. La nature reprend ses droits, on s’y sent petit, on pourrait apercevoir à tout moment une fée !
« If mountain, wood, and water, harmoniously blent, constitute the most perfect and adequate loveliness that Nature presents, it surely must be owned that is has all the world over, no superior. » Alfred Austin 1900.
·         Dans le comté de Kerry
Situé sur le territoire du petit village de Baile na nGall sur la Péninsule de Dingle, dans le comté de Kerry, en Irlande, l'oratoire de Gallarus (en anglais Gallarus Oratory) est un petit bâtiment en pierre présenté par l'antiquaire Charles Smith, lors de sa « découverte » en 1756, comme église paléochrétienne du VIIe siècle mais dont la date a été remontée au XIIe siècle par l'archéologue et historien Peter Harbison en 1970. Sa fonction d'origine demeure cependant obscure, bien qu'on associe l'édifice généralement à la religion, en tant qu'église, monument funéraire ou abri pour pèlerins. (source : wikipedia)
C’est assez extraordinaire de pouvoir voir ces petits habitacles en pierre, ça a l’air tout fragile, mais quelque part c’est fort en présence ! L’intérieur est pittoresque, mais c’est émouvant d’y rentrer, je ne sais pas trop comment vous l’expliquez, mais on y reste pas indifférent.
J’avais vraiment l’impression d’avoir fait un bon en arrière dans le temps comme si j’avais pris une machine à remonter le temps, c’est magique !
·         Inagh Valley (la vallée du Connemara)
A faire, c’est l’incontournable de l’Irlande ! A faire en voiture, ou en bus, ou à pied.
Des moutons accompagneront votre visite, car il n’y a pas une seule habitation, c’est sauvage, c’est la nature ! De la tourbière, des lacs et des montagnes prôneront devant vous comme de gigantesques dames ! Peut-être que des géants habitent là, qui sait ?
Et puis bien sur, on entonne tous en cœur « Les lacs du Connemara » de Michel Sardou.
Qu’il fasse beau ou pas c’est magnifique, le soleil apporte une vision et la pluie une autre. J’aurai tendance à dire qu’en Irlande j’aimais bien quand il faisait gris et qu’il pleuvait cela apportait un touche mystérieuse et faisait ressortir toutes les couleurs, que ce soit en ville ou en campagne.


Connemara_ source: resensi.info

L’Irlande pays de mon cœur, un pays celtique que j’aimerai revoir, contempler encore chaque merveille, celles que je n’ai pu voir également. Un pays qui vous transporte et vous transcende ! Pays de légendes, amusez-vous à écouter, à sentir, à ressentir ce pays vibrer sous vos pieds ! Chargé d’un passé, qui vous prend, vous saisi et sublime votre regard !